Didier Pobel
Rencontre du 26 mars 2015
19h30 Accueil / Apéritif
20h00 Découverte surprise
20h15 Collation (un plat chaud et un dessert, accompagnés d’un vin, vous seront servis)
21h00 Lecture. Didier Pobel lira des poèmes. De lui, inédits ou pas, mais aussi probablement de quelques autres, et pas forcément ceux qu’on croit. Il est même prêt, dit-on, à proposer à l’auditoire des textes ne relevant pas du registre qu’on lui connaît jusque-là. Mais bon, vous savez ce que c’est, on dit tellement de choses.
L’auteur procédera à une séance de dédicace après la rencontre.
Tarif 30€
Réservations au 04 76 07 22 10
Après quelque trois décennies de journalisme en Dauphiné (libéré), Didier Pobel est reparti vivre sur ses terres bressanes, « aventure domestique » qu’il relate – et invente peut-être incidemment – dans « Un beau soir l’avenir » paru en 2014 à La Passe du vent. Un récit dans lequel se reflète avant tout une trajectoire d’encre, de mots et de battements de coeur, ponctuée, depuis la fin des années 70, de collaborations à des revues chères (Esprit, La Nouvelle Revue Française, Europe…) et de la publication d’une bonne poignée de livres. Des poèmes surtout: de « L’Eternité ne dure que cinq minutes tous les jours » – tout un programme – (Fagne, Bruxelles, 1977) à « Un long silence pâle » (Pré Carré, Grenoble, 2013), en passant par « Liaisons intérieures et autres lignes » (Cheyne, 1990, réédition 1997, prix Kowalski de la Ville de Lyon). Un roman également: « Couleur de rocou » (Le Temps qu’il fait, 2012). Liste non limitative et autres ouvrages en cours. Sans oublier les résurgences. « La Vie blanche », un neigeux recueil publié discrètement en 2010 chez exaequo éditions, en Isère, avec une gravure d’Yves Gemain, reparaît ces jours-ci en tirage moins confidentiel. Une occasion qui mérite bien un retour au pied des montagnes amies, le temps d’une rencontre, le temps d’un partage, le temps de quelques rires complices.