Lieu de patrimoine naturel

 Dans cette démarche visant à réunir intimement art, patrimoine et nature, la vocation de découverte du patrimoine naturel des terres de Chépy est centrale. Le territoire boisé qui les compose ainsi que la faune et la flore présentes constituent une véritable richesse à protéger mais aussi à laisser se développer harmonieusement, tant le biotope ici est riche. C’est ce qui fait de cet espace naturel le 1er refuge de biodiversité « entreprises » en Isère ! Composé de …

• un parc de 10 hectares, et un refuge de biodiversité, le premier classé refuge LPO « entreprises » en 2014 en Isère
• une zone naturelle protégée avec cours d’eau, rivières et étangs (truites, chevaines, batraciens, hérons, colvert, pic épeiche…), le parc étant notamment une zone de repos pour les oiseaux migrateurs,

• un verger, un potager, un rucher, un arboretum mellifère, un hôtel à insectes géant…

Que retenir depuis 20 ans ?

• 2014 : création d’un rucher partagé (parrainage d’entreprises)
• 2014 : parc du domaine labellisé refuge Biodiversité « LPO »(Ligue de protection des oiseaux)
• 2015 : création d’un potager Biologique avec « Les Jardins du Prado »
• Un lien entre Art et Nature avec ChépyTerra et la création des œuvres suivantes : le Nid (2014), l’hôtel à insectes (2015), la passerelle « le trou noir » (2016)
• 2018 : création de « Bleue comme demain » : installation de 20 « ruches tronc » venant des Cévennes et creusées dans des châtaigniers – plantation de 25 arbres mellifères.
• 2019 : remise en route de la turbine historique « Francis » de 1890. Plus vieille turbine encore en fonctionnement connue, préalable à « Neyrpic ». Production d’électricité pour le domaine et autoconsommation.
• 2022 : constat d’une dégradation forte de l’espace naturel. Dans un contexte de changement climatique (tempêtes, tornades, grêle, sécheresse…) et de maladies endémiques qui en découlent, touchant la population des frênes, majoritaires au sein du parc (zone de l’Oasis), l’association lance son projet d’abattage+reboisement.  Les attaques de Chalaroses et les tempêtes qui ont dévasté les abords depuis 2018 nécessitent sur les 5 ans à venir d’agir sur l’abattage et le reboisement du parc, pour repenser dans la globalité et de manière pérenne, un arboretum en harmonie avec l’ouverture du Domaine au grand public, avec les nouvelles conditions climatiques et avec la biodiversité environnante.
• 2023-2025 : reboisement responsable et durable du parc : plantations de 200 arbres, arbustes et plantes mélifères, soutenu par les fonds du mécénat.